Après tout le remue ménage de l’an passé, la filière de interprofession viticole tente, à grand coups de com’ luxueuse de refermer le couvercle sur la marmite en ébullition de la société civile qui veut reprendre le contrôle sur sa santé et qui se mobilise. Les responsables de la situation actuelle uniquement soucieux de la crise médiatique, voudraient nous faire croire qu ils ont la situation bien en main.
ils abandonnent les professionnels qu ils ont convaincus de se rendre esclaves d une viticulture basée sur la maximisation des rendements et sur la chimie de synthèse. Alors qu’ils ont la prétention de faire du Bordelais la capitale de l’oenotourisme, ici et maintenant, au royaume de l’omerta, dont le joyau l’étron étincelant, éclabousse les rives de la Garonne, y règne seulement l’odeur des cadavres. Ceux que cette viticulture mortifère a produit.
Tout faire pour éviter de s attaquer au problème et persister dans le double langage, le déni et en plus dans une débauche de moyens. 500 000 € le coup de com’ sur le service publique : http://www.vitisphere.com/actualite-84902-Loenotourisme-fait-sa-pub-a-la-television.htm
et une carte interactive de contribution volontaire sans aucun contrôle : http://www.vitisphere.com/actualite-85036-Les-bonnes-pratiques-de-Bordeaux-a-la-carte.htm
Mais la réalité, c’est ça :
19 avril 2017, Médoc :
Charentes 19 avril 2017 :
Preignac 4 avril 2017 :
https://www.facebook.com/valeriemu
le Pouyalet 26 mai 2016 :